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27 juin 2011 1 27 /06 /juin /2011 19:03

Maison RabelaisMaison

Rabelais

Jacqueline

GRASSET
Du vendredi 1er

au jeudi 14

juillet  2011

 

Jacqueline Grasset vit et travaille à Hagondange en Lorraine.

Longue et patiente route que son chemin de « Terre »

éclairé par le « Ciel » de son atelier.
Etudes différentes, domaines différents (étalagiste,

aide-soignante, art-thérapie).
 

Mais tous liés par : se Savoir Vivant.

Etudes et pratiques mêlées, en tentant l’aventure de l’ombre

et de la lumière du bitume et de la nacre , du masculin et

du féminin ,du cosmos et du brin d’herbe, de l’éphémère

et de l’éternel, et de la joie sans quoi rien ne vaut !

DSCF8932--1600x1200-.JPGLa main liée au geste : une longue attention ;
La mémoire non-verbale : des formes devenues autonomes ;
Et inventer le jamais-vu !
Les couleurs élues, dans une palette réduite, font vibrer

la gamme puissante des bruns ; et donne cet aspect de

densité chromatique unique.
Matériau riche à travailler, à s’étonner.
Riche en devenir.
Avant d’entreprendre une peinture, il n’y a rien à faire,

rien à trouver, seulement être en accord avec le cours des

choses.

On est dans une totale pauvreté, un abandon, un balayage

de soi.
DSCF8925 [1600x1200]J.G. ne reproduit pas l’apparence, mais amorce dans le

cœur du spectateur les sentiments que procure la

contemplation d’un paysage réel ou d’une personne.

Tentative de transformation spirituelle.
Avec une synergie, s’il en est une :

celui qui regarde le tableau, le peintre qui regarde son

sujet et le sujet lui-même !
Evacuer le visible pour la sensation pure !

En quête d’elle-même ; Un Soi qui n’est pas là d’avance.

Sa peinture est une continuelle adaptation de l’image du

réel et de l’espace du monde : « le chemin de Terre et le

Ciel de son atelier. »
Idéal de perfectionnement que de cultiver cet invisible

essentiel.

Tenter de vivre l’homme de Peu, l’homme du Silence,

l’homme de Conscience, l’homme de Joie ;

La peinture au-devant de soi ; où l’on entre dans l’espace

pictural comme on entre dans une cathédrale.

Cette exposition dans les belles pierres de la Maison

Rabelais offre un morceau de ce cheminement simple

mais sincère.

Association des Amis de la Maison Rabelais,   
72 en Fournirue – F- 57000 Metz
Tel : 06.87.38.20.05 (Claire Cochenet)

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14 juin 2011 2 14 /06 /juin /2011 15:32

Maison-Rabelais.JPGMaison

Rabelais

ouverture de leur

saison estivale

2011 avec

VBK
Véronique

Balin Kourgousoff
Du vendredi 17 au jeudi 30 juin 2011


Née en Meurthe et Moselle en 1967 d’un père vosgien

et d’une mère mosellane, VBK a choisi d’installer sa vie

et son atelier-galerie en Meuse, loin des tumultes du 

monde.
Elle utilise des supports, des média (acrylique, peinture

à l’huile) et des techniques variables (peinture avec

divers outils, sculpture d’assemblage…) selon  ses envies.
Elle décline ainsi des séries de factures et d’inspirations

différentes au gré des enthousiasmes ou des doutes de sa

vie.
Les modalités changeant, le désir de la découverte garde

vibrante l’émotion ancrée tout au fond.
VBK prend résolument le parti de l’acte de peinture.

Tel est l’engagement.

DSCN49163.JPGDans sa série « les Organiques » (par opposition au

monde minéral et à ses lignes droites), des unités

tendant à la rondeur envahissaient les toiles en

imposant une présence vibrante, contrastée ou plus

fondue avec leur environnement.
Evocations de cellules, gamètes, fleurs, féminités,

identités variables en fonction du regard.
Mais avant tout, une expérience universelle de vie.

 

Cette exposition dans les belles pierres de la Maison

Rabelais offre un morceau de ce cheminement simple

mais sincère.

Association des Amis de la Maison Rabelais,   
72 en Fournirue – F- 57000 Metz
Tel : 06.87.38.20.05 (Claire Cochenet)

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4 juin 2011 6 04 /06 /juin /2011 17:51

Nos-villes.JPGNos vi[ll]es
METZ PHOTO
Photographies
Du 10 juin

au 18 septembre

2011
Galerie

d’Exposition

 

  

La Galerie d’Exposition de l’Arsenal accueille les travaux

de trois photographes ayant trait à « La Vi[ll]e » :

Voyage en périphérie de Cyrus Cornut (Projet France 14),
Untitled City de Giovanni Del Brenna (Agence Luz) et

Courants d'air de Steffen Rault (collectif Mélophage).

 

Trois démarches artistiques différentes, chacune étayée

par une sensibilité aux préoccupations de l’individu
contemporain plongé dans l’environnement urbain.

On ne saurait rester insensible à ces oeuvres, à l’heure

où dans le monde un habitant sur deux vit dans une

ville et se trouve concerné par le phénomène grandissant
d’urbanisation.

La photographie se révèle ici le médium artistique par
excellence pour éveiller notre conscience sur les

problématiques liées à l’urbanité et, au-delà, pour

sensibiliser tout citoyen aux enjeux sociétaux de
demain.
Steffen-Rault.JPGCette exposition est associée à un cycle de conférences

qui débutera le samedi 11 juin à l'Arsenal.

Les artistes photographes présenteront au grand
public leur démarche personnelle, avec un éclairage

sociologique apporté par des experts invités dont

Jean Marc Stébé (professeur à Nancy Université et

chercheur au sein du Laboratoire lorrain de sciences

sociales - 2L2S) et Olivier Zéphir, chercheur en innovation.

Coproduction Metz en Scènes / Photo-Forum, dans le

cadre de METZ PHOTO.
www.photo-forum.fr
www.metzphoto.fr


ARSENAL - METZ EN SCÈNES
Direction Générale :

JEAN-FRANÇOIS RAMON
Déléguée Artistique :

MICHÈLE PARADON
mparadon@metzenscenes.fr
t. +33 (0)3 87 39 92 04
3 avenue Ney,

57000 Metz
t. adm. +33 (0)3 87 39 92 00 

fax. +33 (0)3 87 75 21 52
www.arsenal-metz.fr

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25 mai 2011 3 25 /05 /mai /2011 18:02

L-anabase.JPGCENTRE

D’ART

CONTEMPORAIN

La Synagogue 

de Delme
Exposition
ERIC BAUDELAIRE
jusqu'au 25

septembre 2011
Le centre d’art contemporain de Delme présente le

dernier projet d’Eric Baudelaire : une installation

retraçant l’épopée politique et personnelle de
l’Armée Rouge Japonaise revisitée comme une
anabase1, allégorie d’un voyage qui est à la fois une

errance vers l’inconnu et un retour vers chez soi.
DSCF6389--1600x1200-.JPGDe Tokyo à Beyrouth dans la fièvre idéologique de

l’après 1968, et de Beyrouth à Tokyo après la fin de

la guerre froide, l’itinéraire de trente ans d’une frange

radicale de la gauche révolutionnaire est raconté par

deux de ses protagonistes.

May Shigenobu, fille de Fusako Shigenobu qui a

fondé l’Armée Rouge Japonaise, en a été le témoin

intime.

Née au Liban dans le secret, elle ne connaît que la

clandestinité jusqu’à ses 27 ans, mais une nouvelle

ère commence pour elle avec l’arrestation de sa mère

en 2000, et son apprentissage d’une vie soudainement
très publique.

DSCF6384--1600x1200-.JPGLe second personnage est Masao Adachi, réalisateur

légendaire de l’avant-garde Japonaise, qui a rejoint

l’Armée Rouge et la cause palestinienne en 1974.

Pour ce théoricien du fûkeiron, mouvement de cinéastes

qui filmaient le paysage pour y révéler les structures

du pouvoir, ses 27 années d’exil volontaire furent sans

images, car celles qu’il tournait au Liban furent détruites

pendant la guerre.
C’est donc la parole, le témoignage et la (fausse)

mémoire qui structurent L’Anabase de May et Fusako

Shigenobu, Masao Adachi et 27 années sans images.

Deux récits croisés où se mêlent histoires intimes, histoire

politique, propagande révolutionnaire et théorie du

cinéma.

Deux récits de clandestinité sans image où il est en

permanence question d’images. Elles seront
longuement absentes pour May Shigenobu avant

de devenir le moyen de l’invention de soi lorsqu’elle

commence sa vie publique.

Elles sont le territoire d’une vie entière pour Adachi :
même pendant ses années libanaises il pense la

préparation d’une prise d’otage comme l’écriture
d’un scénario, confiant aux médias, plutôt qu’à un

chef opérateur, le rôle de faire les images d’après son

script.

Adachi abandonne-t-il un cinéma engagé pour un

engagement sans cinéma, ou faut-t-il penser la

révolution elle-même comme un film ?

Aucun autre cinéaste n’était allé aussi loin dans ce

brouillage des frontières entre la fiction et le réel.
DSCF6391--1600x1200-.JPG1 Dans sa chronique de la retraite des Dix Mille,

Xénophon nommait Anabase un mouvement vers

« chez eux » de gens hors lieu et hors la loi.

Le terme symbolise l’effondrement de l’ordre qui

donnait sens à la présence de mercenaires Grecs

venus faire la guerre chez les Perses après la mort

soudaine de Cyrus, leur commanditaire.

L’armée grecque doit battre en retraite sans guide,

sans connaître le chemin ; de héros ils deviennent

des étrangers dans un pays désormais hostile.

actuellement à Paris.
À travers la vidéo, la photographie, l’estampe ou

l’installation, il s’intéresse à la relation entre l’image

et l’événement, le document et la narration.
Il a récemment exposé au Hammer Museum, Los

Angeles, à la Elizabeth Dee Gallery, New York, à la

Galeria Juana de Aizpuru, Madrid, au Musée de la

Photographie de Charleroi et à la Galerie Greta Meert,

Bruxelles.

Ses films ont été sélectionnés au International Film

Festival Rotterdam, et son travail est présent dans les

collections du Whitney Museum of American Art, du

Centre Pompidou, du Fond National d’art Contemporain,

et du FRAC Auvergne.
DSCF6404--1600x1200-.JPGSon travail figure cet été dans l’exposition Nul Si

Découvert au Frac-Ile de France / Le Plateau à Paris.
Ici, l’anabase n’est pas seulement une allégorie

géographique, elle est aussi politique et esthétique.

L’errance de May, Fusako Shigenobu et Masao Adachi

se situe entre Extrême et Moyen-Orient, entre les

images du réel et celles de la fiction, entre engagement

politique et fascination pour la violence.

Leur parcours est symbolique du cheminement politique

de toute une époque : la radicalisation d’un engagement

vers la lutte armée, puis l’effondrement progressif du

contexte idéologique des années soixante qui aboutit

au Japon d’aujourd’hui, spectaculairement dépolitisé.

Autant d’aller-retour que l’exposition place sous le signe

de l’anabase tel que l’envisage le philosophe Alain

Badiou dans son livre Le Siècle : « libre invention

d’une errance qui aura été un retour, un retour qui,

avant l’errance, n’existait pas comme chemin-de-retour ».

Un mouvement laissant « indécidées, dans la trajectoire

qu’il nomme, les parts respectives de l’invention

disciplinée et de l’errance hasardeuse, (...) synthèse

disjonctive de la volonté et de l’égarement.»
DSCF6410--1600x1200-.JPGAucune tentative didactique ou objective dans le

projet d’Eric Baudelaire :

il s’agit au contraire de laisser la place à des récits, en

acceptant l’idée qu’une histoire du terrorisme d’extrême

gauche ne peut être autre chose que la confrontation

de narrations antagonistes, idéologiques, dans un

brouillard de fantasmes, d’émotions, de douleurs et

d’indifférences.

Une écriture en chantier où langage et images sont

chargés de sens éclatés et contradictoires.

Le personnage de May Shigenobu permet d’aborder

des questions liées à la construction de soi par l’idéologie,

le mythe, le récit, le secret, et le besoin de trouver sa place

dans un monde rendu plus complexe par l’effondrement

de certitudes politiques radicales.

La figure de Masao Adachi pousse à l’extrême les rapports

complexes entre art et action, cinéma et révolution,

terrorisme et engagement.
Adoptant le format d’une installation documentaire

expérimentale, l’exposition comprend un ensemble de

sérigraphies quasi-monochromes, un livret, et un film

où les récits de May Shigenobu et Masao Adachi sont

montés sur des nouvelles images fûkeiron, tournées en

Super 8 dans les paysages contemporains de Tokyo et

Beyrouth.
DSCF6378--1600x1200-.JPGINFORMATIONS PRATIQUES
Exposition ouverte du 20 mai au 25 septembre 2011.
Mercredi-samedi : 14-18h,

dimanche : 11-18h.

Entrée libre.
Visite commentée et rencontre avec Eric Baudelaire :

dimanche 3 juillet à 16h
Visites commentées avec Laurène Macé, chargée des

publics : tous les dimanches à 16h
COORDONNÉES et ACCÈS
CENTRE D’ART CONTEMPORAIN -

LA SYNAGOGUE DE DELME
33 rue Poincaré 57590 Delme
Tel : 03 87 01 43 42

Fax : 03 87 01 43 14

Liens :
www.cac-syangoguedelme.org

cac.delme@wanadoo.fr

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3 mai 2011 2 03 /05 /mai /2011 18:41

Montigny.JPGMontigny-lès-Metz

EXPOSITION

PHOTOS
« EN PASSANT

PAR

MONTIGNY »
Du mardi 10 mai au samedi 11 juin,

la bibliothèque municipale propose de (re)découvrir

Montigny-lès-Metz grâce à une exposition de

photographies présentant son visage d’autrefois et

d’aujourd’hui.

Le chemin de fer et l’armée, deux acteurs ayant marqué

l’histoire de la ville, seront mis à l’honneur à travers la

présentation de trains miniatures et d’objets de la vie

militaire.
Organisée en partenariat avec l’association Montigny

Autrefois, l’Amicale des Anciens et des Amis de la

Traction Vapeur, Madame Marlyse Bier, photographe

amateur, et le Groupement de Soutien de la Base de

Défense de Metz / 4e GEH, cette exposition baptisée

« En passant par Montigny » fait écho au thème du

fleurissement « Montigny en Lorraine ». Ce thème, sur

lequel le service des espaces verts a travaillé pendant

deux ans, a notamment permis à la ville d’obtenir sa

4ème fleur.
Du 10 mai au 11 juin - Entrée libre
Mardi, jeudi et vendredi :

14h à 18h
Mercredi et samedi :

10h à 12h et 14h à 18h.
Bibliothèque municipale,

7 rue de l’Abbé Châtelain

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30 avril 2011 6 30 /04 /avril /2011 17:26

DSCF7029 [1600x1200]« d’Est

en Ouest »
Exposition

photographique

réalisée par
Brigitte et Lionel

CAPPANNELLI

du 10 mai au

2 juillet 2011

à la Maison du Pays Messin
71c, rue de Pont-à-Mousson
57950 MONTIGNY-LES-METZ

Du 10 mai au 2 juillet 2011, le Syndicat Intercommunal

à Vocation Touristique du Pays Messin, présidé par

Monsieur Jean-Luc BOHL, accueillera dans les locaux de

la Maison du Pays Messin, sise au 71c, rue de

Pont-à-Mousson à Montigny-lès-Metz, une exposition

photographique intitulée « d’Est en Ouest  »  réalisée par

Brigitte et Lionel CAPPANNELLI, photographes.

Brigitte et Lionel ont choisi de faire cette comparaison car

ils sont tous deux lorrains de naissance et ouessantins de

cœur !

Ils partagent des passions communes :

. la première étant la Bretagne, où une partie de leur cœur

vit à l’année,

. la seconde, la Nature, où au cours de leurs balades, ils

font des rencontres extraordinaires et assistent à de

superbes spectacles de lumière,

. ….et la photographie qui leur permet de mettre en

images les deux premières !

expo-d-estenoeust-1.JPGLeurs regards et leurs objectifs fusionnent tout

naturellement pour photographier tout ce qui les

entoure, ici à l’Est et en Bretagne à l’Ouest.

Pour cette exposition, ils ont associé et opposé des

thèmes identiques, chacun à sa manière, chacun

avec son regard qui lui est propre …

mais chaque fois en complément de l’autre …

Laissez-vous guider parmi les turbulences nuageuses

lorraines et les vagues ouessantines, les témoignages

de la vie rurale et maritime, les flèches et fleurs de

Lorraine ou de Bretagne !

A travers cette exposition, un agréable moment d’évasion

vous attend à la Maison du Pays Messin.

expo-d-estenouest-2.JPGL’exposition est ouverte au public  du mercredi au

samedi de 14 h à 18 h à l’exception des jours fériés.

Contacts :
Brigitte et Lionel CAPPANNELLI  -

Tél. 03.87.63.95.34/06.49.15.87.28
Valérie PERRIN,

chargée d’études au SIVT du Pays Messin –
Tél. 03.87.56.83.66

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29 mars 2011 2 29 /03 /mars /2011 19:21

art.metz.JPGart.metz
11ème

édition
Foire d’art

de la

Grande

Région  

Du 01 au

4 avril 2011 

Les discours et les travaux de réflexion menés
à propos de la Grande Région pointent
la culture et le tourisme comme des leviers
majeurs de développement.
art.metz, la Foire d’art de la Grande Région
s’inscrit plus que jamais dans cette démarche
et confirme cette année sa double ambition :
contribuer au rayonnement de la Grande
Région en accueillant des artistes de renommée
internationale et mettre en valeur les
jeunes talents émergents de notre territoire.
art.metz1.JPGC’est dans cet état d’esprit qu’ art.metz, la
Foire d’art de la Grande Région, prépare sa
11ème édition et ouvre ses portes à un public
varié durant 4 jours, du 1 au 4 avril 2011.
Un succès n’étant jamais acquis, les projets
se renouvellent chaque année.

Cette nouvelle édition le confirme : à côté

des exposants sélectionnés, de jeunes talents

peuvent également s’exprimer, montrer au

public et transmettre par le biais des média,

la richesse de leur créativité et leur dynamisme.

Un effort particulier a été fait pour permettre
à de jeunes artistes locaux, encore étudiants
en Ecoles d’art ou à l’Université, parfois à
peine reconnus par un public averti, de montrer
leurs travaux. L’entrée du Hall B est
mise gratuitement à leur disposition grâce au
soutien d’art.metz et des dirigeants du Parc
des expositions de Metz Métropole qui
croient en leur avenir.
art.metz2.JPGL’objectif de cette édition étant de promouvoir
la photographie, le public d’art.metz
peut à loisir constater que notre Région est
riche en jeunes créateurs dynamiques qui
produisent des oeuvres de grande maturité.
Nous proposons également des performances
menées par des artistes allemands : Volker
Schütz, performance autour de la photographie,
le collectif Contemporary young art-
Kowalski & Friends avec des vidéos et des
mises en spectacle audacieuses.
Les talents confirmés sont bien sûr également
au rendez-vous : « Surface Sensible » mené
par Eric Dydim et pour notre plus grand
plaisir, Charlélie Couture, un artiste complet
puisqu’il passe de la musique à la photographie
et à la peinture avec autant de bonheur.

La Foire d’art de la Grande Région, art.metz,
contribue ainsi à la mise en valeur de nos
richesses et confirme sa capacité à participer
pleinement à la promotion de notre espace
géographique et culturel transfrontalier.

Heures d’ouverture
Vendredi 1er : 11h - 23h,
soirée d’ouverture 18h00 - 23h
Samedi 2, dimanche 3 : 11h - 20h
Lundi 4 : 11h - 18h
Entrées
Billet: 8€
Demi-tarif: étudiants, groupes: 4€
Gratuit pour les moins de 14 ans et les scolaires
accompagnés
Lien :

http://www.artmetz.com/

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27 mars 2011 7 27 /03 /mars /2011 17:48

expo-jouets-MJC---presseAA.jpgexpo-jouets-MJC---presseBB.jpg

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9 mars 2011 3 09 /03 /mars /2011 20:09

L-invisible.JPGIcônes

l'invisible

sérénité
Au Château

de Courcelles,

Montigny-lès-Metz
Du 12 mars

au 29 mai 2011
 

 

Exposition ouverte les vendredi, samedi et dimanche,

de 14h à 18h, ou sur rendez-vous.
Entrée libre

Exposition de 50 pièces originales issues de la collection

particulière de M. Norbert Vogel, Château de Landonvillers.
www.montigny-les-metz.fr

Présentation
La Ville de Montigny-lès-Metz présente au Château de

Courcelles une exposition sur les icônes, patrimoine

culturel peu connu où l’art se dispute à l’histoire.
Cette exposition a pu être réalisée grâce au partenariat

engagé entre la Ville et Norbert Vogel, Château de

Landonvillers.
Sa passion de collectionneur nous permet d’offrir

aujourd’hui au public près de 50 pièces originales,

remarquables de beauté et de mystère, du XVIIème

au XXème siècle, issues pour la plupart de la terre Russe.
Précieuse et populaire à la fois, cette peinture sur bois

décline les chemins de la spiritualité chrétienne,

autour des figures du Christ Roi, de la tendre Madone,

des saints médiateurs entre Dieu et l’Homme, mais

aussi des légendes antiques et récits bibliques.
Témoignages de l’histoire et de la foi orthodoxe,

majesté et splendeur des icônes portent l’art sacré

de Russie jusqu’en notre pays messin.
DSCF4738--1600x1200-.JPGL'icône, présence vivante
Icône et spiritualité
L’icône est bien plus qu’une simple peinture religieuse.

Bien plus qu’une image, elle est la révélation même du

personnage représenté.

Le mot « Icône » vient du grec eikon, qui signifie « image »

ou « ressemblance ».

Ce terme désigne principalement les peintures exécutées

sur des panneaux de bois mobiles avec des pigments

minéraux ou végétaux liés au jaune d’oeuf.

Cette technique est dite a tempera ou à la détrempe.
On trouve également des icônes de voyage en bronze,

parfois magnifiquement émaillées, que le voyageur ou

le soldat pouvait facilement porter sur soi ou glisser

dans ses bagages.
Issues de la foi orthodoxe, ces oeuvres sont présentes

principalement en Russie, en Grèce et dans les pays

slaves.

L’Ethiopie, grâce à l’existence de l’Eglise copte, connaît

également une production d’icônes, souvent séduisantes

par leur facture proche de la peinture naïve.
Les thèmes, de nature spirituelle ou symbolique,

devaient correspondre à des canons stricts et

pratiquement immuables, imposés par les instances

ecclésiastiques.

Il ne restait ainsi que très peu de place à l’expression

personnelle de l’artiste, qui devait s’effacer derrière le

message spirituel transmis.
la-mere.JPGLa finalité de l’icône a toujours été double.

Elle est prière et méditation mises en peinture, ou en

« écriture », et on parle volontiers d’ « iconographie ».

De plus, l’image avait jadis une fonction pédagogique :

elle enseignait les Saintes Ecritures et la vie des martyrs

et des Saints à une population souvent illettrée.
Les icônes ont toujours été vénérées dans les églises,

les monastères et couvents, et dans les familles.

Traditionnellement, chaque foyer de croyants possédait

un oratoire nommé le « bel angle », qui abritait ces

trésors spirituels privés.

Deux millénaires d'icônes
Les « portraits du Fayoum », masques funéraires

romano-égyptiens des IIème et IIIème siècles, peuvent

être considérés comme les ancêtres des icônes, tout

autant que les portraits des souverains du monde

hellénique et de l’empire romain, objets d’une fervente

adoration.
Dès le début de notre ère, les croyants gardèrent chez

eux ou dans des lieux spécifiques, des images peintes

du Christ, de la Vierge, des martyrs et premiers
personnages sanctifiés.

A partir du VIème siècle, les icônes furent diffusées

partout dans l’empire byzantin et un riche culte leur

fut voué.
Cependant, les iconoclastes refusant la représentation

en image de la divinité furent à l’origine de la destruction

de nombre de ces trésors sacrés.

Après l’an mille, lorsque le Christianisme devint la

religion officielle en Russie, de nombreux moines

peintres essaimèrent à travers toutes les régions de cet

immense territoire et transmirent leur tradition et leur

savoir-faire.
La Renaissance italienne apporta une influence

occidentale remarquable qui provoqua néanmoins une

scission avec les anciens, « les vieux croyants », qui

continuèrent à peindre dans la tradition antique épurée.
les-sts.JPGAu XIXème siècle, cet art d’exception fut partiellement

dénaturé par une production semi-industrielle, en

opposition avec la pureté méditative et l’ascèse du

peintre d’icônes traditionnel. Même si les agitations

de l’histoire devaient entraîner, avec la ruine des

édifices du culte, des destructions majeures, la

ferveur populaire protégea et sauvegarda des

trésors artistiques inestimables en des lieux privilégiés.
Bien qu’à nouveau des iconographes tentent de

retrouver les secrets de cet art millénaire, transmis

uniquement par tradition orale de maître à élève,

les rares icônes anciennes n’ont pu être égalées.

Leur profond rayonnement mystique et la qualité

extrême de leur exécution ne laissent jamais le

spectateur indifférent.

Techniques de l’icône
Les premières icônes chrétiennes ont presque toutes

été détruites durant la période iconoclaste.

Quelques-unes ont survécu jusqu'à nous, ainsi

au Monastère Sainte-Catherine du Sinaï. Réalisées

selon la technique de l'encaustique, elles sont

assez proches des peintures funéraires d'Égypte

telles que nous les connaissons par les portraits

du Fayoum.
La technique évolua ensuite vers la "détrempe" ou

a tempera, encore utilisée aujourd'hui.

Le support
L'icône est réalisée sur une planche de bois exempte

de noeud.

Tous les bois peuvent théoriquement être utilisés

pour confectionner les planches, à condition d'être

bien secs.

En conséquence, durant des siècles, l'iconographe,

généralement un moine, utilisa le bois qu'il trouvait

dans les environs.

Le tilleul semble le plus adéquat : très homogène et

tendre, il fend peu et se révèle facile à travailler.
La surface à peindre, parfaitement plane, peut aussi

être légèrement creusée sur 3 ou 4 mm d'épaisseur, en

ménageant un bord d'un centimètre environ.

Au XVIIème siècle, les icônes russes présentent souvent

un double rebord.
Sur ce fond, on étend à chaud de la colle de peau,

puis une fine toile.

Cette toile est ensuite recouverte par plusieurs couches

d'un mélange de colle et de poudre d'albâtre, le levkas,

qui après séchage est poncé pour obtenir une surface

uniforme.
evenement.JPGLa réalisation
Sur la planche ainsi préparée, l'iconographe reporte

le dessin de l'icône. Les traits du dessin sont ensuite

légèrement gravés dans le levkas.
Si la feuille d’or est utilisée, elle est alors posée et

symbolise ainsi la dimension transcendante et éternelle.
Vient l'étape de la peinture, réalisée à partir de pigments

naturels minéraux (ocres, oxydes métallique, etc.) ou

animaux (noir d'ivoire, etc.).

Les pigments mélangés à du jaune d'oeuf et de l'eau

sont déposés au pinceau « en roulant la goutte », en

commençant par les teintes les plus sombres pour

aller vers les plus claires.

Pour les parties du corps visibles, visage et mains,

l'iconographe pose d'abord un fond ocre sombre,

le proplasme, à partir duquel il fait ressortir les traits.
Les modèles doivent comporter des indications écrites

précisant la personne ou le thème représenté.
Enfin, l'icône est protégée par une préparation à base

d'huile de lin, l'olifa, assurant sa conservation.

(Visuels Ville de Montigny-lès-Metz)

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27 janvier 2011 4 27 /01 /janvier /2011 21:49

CréativaSalon

Creativa

Metz

De l’Esquisse

à la Scène

Exposition de

maquettes et de

costumes réalisés

par les ateliers de
l’Opéra-Théâtre de Metz Métropole


L’exposition proposée par l’Opéra-Théâtre de Metz

Métropole dans le cadre du salon Creativa permettra

au public de découvrir quelques-unes des facettes de

la fabrication des costumes d’un spectacle :

de la maquette dessinée par le décorateur à

l’échantillonnage des tissus, puis à la fabrication

elle-même.

DSCF7260--1600x1200-.JPGPhotos des interprètes et des spectacles, ainsi que

maquettes décors, complèteront cette présentation.

Ces costumes sont une véritable invitation à voyager

dans le monde de la création et du spectacle, de l’opéra

à l’opérette, en passant par le ballet.

Don Giovanni de Mozart y côtoiera ainsi Don

Quichotte de Massenet, Hamlet du messin Ambroise

Thomas, Les Contes d’Hoffmann d’Offenbach,

Les Mousquetaires au couvent de Louis Varney ou

encore Cendrillon de Prokofiev.

DSCF8555--1600x1200-.JPGEn avant-première, seront également présentés des

maquettes et des costumes de la prochaine création de

l’Opéra-Théâtre, Lundi, Monsieur, vous serez riche

d’Antoine Duhamel et Rémo Forlani, dont les

représentations se dérouleront du 25 au 27 février 2011.

L’ensemble de ces costumes a été réalisé par l’atelier

couture de l’Opéra-Théâtre de Metz Métropole.

Cette exposition témoigne de la créativité des artistes

qui ont dessiné ces costumes, du savoir-faire et du talent

de l’atelier qui les a réalisés.

DSCF2746--1600x1200-.JPGAu travers de cette mise en avant, elle est aussi une

invitation à venir découvrir les spectacles présentés

tout au long de la saison par l’Opéra-Théâtre, lieu

incontournable de la vie culturelle messine.

La scène comme aboutissement final d’un long travail

de création, enfin placé sous le feu des projecteurs ! 


Site internet de l'Opéra-Théâtre :

http://opera.metzmetropole.fr

DSCF4874--1600x1200-.JPG

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